Slow travel : pourquoi choisir le voyage à vélo

« Franchement, quel intérêt de voyager à vélo quand tu peux parcourir 20 fois plus de kilomètres en voiture ? »

Vous aussi, avez déjà eu cette question de tonton Raymond ?

Peut-être même que vous aussi, vous avez besoin d’un petit coup de pouce pour vous laisser convaincre (ou convaincre votre moitié de partir avec vous) ?

Chez DolceVia, on a vu des milliers de voyageurs transformer leurs vacances à vélo en aventures inoubliables, simplement en enfourchant une bicyclette. Alors voici 8 arguments pour choisir le slow tourisme à vélo.

Et montrer à tonton Raymond quel est l’interêt !

1. La sensation grisante de liberté

Si on voulait faire simple, on pourrait résumer le voyage à vélo en 3 mots : liberté, liberté, liberté. La liberté de ralentir. La liberté de prendre un détour. La liberté de faire une pause.

C’est pas la Dolce vita, ça ?

Cette liberté, c’est celle d’avancer à votre tempo. Envie de faire une sieste sous un arbre centenaire ? De prolonger votre pause déjeuner face à un panorama qui vous laisse sans voix ? De vous arrêter prendre une (énième) photo ?

Pas de contrainte d’horaire, pas d’embouteillage. À vélo, c'est vous qui décidez.

Et puis, cette sensation d’évasion quand vous avez les cheveux au vent et que les paysages défilent au rythme de vos coups de pédale, elle est inégalable.

2. Une (vraie) immersion dans les territoires

Quand on embrasse le voyage lent, on prend le temps. Adieu les visites éclair et les selfies pris à la va-vite avant de repartir !

C’est là qu’on capte les subtilités d’une région et ses pépites cachés : les champs de coquelicots, le coin de pique-nique parfait, le spot de baignade, la petite taverne, le village pittoresque, la minuscule chapelle…

« Je me souviendrai toujours des champs de coquelicots sur la ViaRhona. Et surtout, de notre rencontre avec une biche, figée dans l’un de ces champs, aussi stupéfaite que nous ! Magique. » raconte Audrey, une habituée des aventures à vélo.

3. C’est bon pour le moral (et la santé)

Soyons honnêtes, combien rentrent de vacances plus fatigués qu'avant de partir ? Le voyage à vélo, lui, prend littéralement soin de votre corps et de votre esprit.

Côté santé physique, c'est le combo gagnant. Le vélo est un sport hyper complet : le souffle ? Check. Le cardio ? Check. La circulation sanguine ? Check. Le tout en douceur pour vos articulations.

Dernier check : la santé mentale. Là aussi, le cyclotourisme a ses vertus. La régularité du pédalage, la connexion avec la nature, l’absence d’écran… Sans vous en rendre compte, vous entrez dans un état semi-méditatif, semi-contemplatif qui vous fait un bien fou.

Résultat ? Vous revenez régénéré.

4. Un voyage à la portée de toutes et tous

« Mes muscles sont comme les minions : fictifs », « je n’ai pas fait de sport depuis la préhistoire », « avec mon sens de l'orientation, je me perdrais même dans mon jardin ».

Hum… Ça sent les fausses excuses tout ça !

D'abord, vous pouvez doser l’effort. Pas besoin de programmer des étapes du Tour de France. Les voies vertes et véloroutes se multiplient partout en France et Europe, avec des parcours plats et sécurisés où même les plus allergiques à l'effort trouveront leur bonheur. Des étapes de 20 ou 30 km par jour pour démarrer, c’est déjà une belle aventure.

Si ça ne suffit pas, la révolution des vélos électriques, c'est un peu magique. Même avec une condition physique de mollusque en hibernation ou un dénivelé qui ressemble au profil d'une montagne russe, l'assistance vous aide à avancer sans (trop) d’efforts.

5. Des vacances familiales inoubliables

Un voyage à vélo avec des enfants, mission impossible ?

100% possible.

Vous allez adorer voir vos bambins prendre goût à cette découverte. Il suffit de planifier des étapes courtes, avec des pauses régulières et ludiques. Si vous voulez avaler plus de kilomètres, les VAE sont aussi une excellente option pour la tribu.

« J’ai loué des VAE avec DolceVia pour mes deux enfants et moi pour parcourir la Véloscénie, de Paris au Mont St Michel. C’était tellement puissant de voir ces gamins pédaler vers leur objectif ! » nous confie Marie.

6. Du fun !

On vous met au défi de ne pas avoir envie de crier « Wouhouuuuuu ! » sur votre première descente. Ou de ne pas sourire bêtement en roulant à toute allure dans les flaques d’eau.

L’aventure à vélo, ça réveille votre âme d’enfant.

Juste pour ça, ça vaut le coup de se (re)mettre en selle, non ?

7. L’art de surmonter les défis

Un voyage à vélo, c’est aussi accepter les imprévus : un pneu crevé, une route coupée, un resto fermé… Rien de tel pour apprendre à s’adapter, et surtout : à lâcher prise. Cette capacité-là, une fois acquise sur la route, elle est précieuse au quotidien.

Enfin, quel meilleur boost pour l’égo que de parcourir des kilomètres à la seule force de vos mollets ? On ne parle pas de la fierté futile des likes sur Instagram. On parle de la satisfaction d'avoir surmonté cette côte qui vous paraissait insurmontable. Celle d'avoir osé l’aventure à vélo.

« J’aime les voyages à vélo pour le défi personnel. Se dépasser, gérer l’imprévu, repousser ses limites… Chaque journée sur la route est une petit victoire, » explique Alexis, notre travel planner qui s’apprête à relier Paris-Istanbul à vélo.

8. Un tourisme véritablement responsable

On a gardé cet argument pour la fin. Non pas parce qu’il compte moins - bien au contraire.

Mais parce qu’on pense que ce n’est pas en vous parlant d’empreinte carbone qu’on vous donne vraiment envie de partir à vélo. Ce qui vous fait vibrer, c’est la promesse d’aventure, de liberté, de moments suspendus.

Maintenant que vous êtes (on l’espère) conquis, on peut vous glisser que ce mode de voyage est aussi un choix plus responsable pour la planète.

Le tourisme mondial est responsable de près de 9% des émissions de gaz à effet de serre. Et 70% de ces émissions sont liées au transport.

Le vélo ? Zéro émission directe de CO2 (hormis celui que vous expirez en pédalant !). Le vélo électrique, lui, émet en moyenne 20 fois moins qu'une voiture thermique. Pas mal non ?

Ajoutez à ça : pas de pollution sonore, pas de particules fines, et très peu d’espace occupé sur les routes ou en stationnement.

Comment se lancer dans l'aventure ?

Voici quelques conseils voyage vélo pour préparer votre première échappée belle :

• Commencez petit : un week-end prolongé sur une voie verte est parfait pour débuter
• Choisissez un itinéraire balisé : La Loire à Vélo, la ViaRhôna ou la Vélodyssée offrent de superbes parcours sécurisés
• Testez votre équipement avant de partir : vélo, sacoches, tenue...
• Prévoyez léger : chaque kilo superflu se fait sentir !
• Acceptez l'imprévu : c'est souvent là que se nichent les plus belles surprises

Pas de vélo ? Pas de panique ! DolceVia propose à la location tous les types de vélo dont vous avez besoin : gravel, route, VTC, VAE…

Pas envie de faire l’aller-retour ? On vous comprend. Vous pouvez louer un vélo en « one way », avec une restitution du vélo dans n’importe quelle gare de France. Easy.

Et si la logistique vous fait peur (hébergements, itinéraires vélo, assistance), on peut s'occuper de tout. Vous n'aurez plus qu'à pédaler et profiter !

Alors, prêt à changer votre façon de voyager ?

Le voyage à vélo n'est pas seulement une façon de se déplacer - c'est un art de vivre.

Tous les convertis au cyclotourisme vous le diront : une fois qu'on a goûté au voyage slow à vélo, difficile de revenir en arrière ! Alors, on parie que votre prochaine carte postale sera envoyée depuis une étape de votre aventure à vélo ?

Et surtout, n'oubliez pas de raconter tout ça à tonton Raymond !