Ecrit par Dolcevia
Découvrir l’Île-de-France à vélo : l’aventure douce de @valmarc avec DolceVia & L’Escale Royale
6 jours, 4 escales, 0 voiture. Valentin nous emmène sur les routes d’Île-de-France et raconte son aventure entre liberté, confort et nature.

Créer du contenu autour du sport, c’est le quotidien de Valentin, alias @valmarc, passionné de tennis, de course à pied, de voile… et de vélo, bien sûr. Avec DolceVia et L’Escale Royale, il est parti explorer l’Île-de-France à coups de pédales : 6 jours entre forêts, cours d’eau paisibles et hébergements flottants. Une belle occasion de parler micro-aventure, confort et slow travel.
Le mois dernier, tu as exploré l’Ile-de-France à vélo avec ta compagne Joannie. Tu nous racontes ?
Avec plaisir ! On a roulé pendant six jours, avec quatre nuitées dans les hébergements flottants de L’Escale Royale, en pleine nature, au fil de l’eau. On a découvert trois cours d’eau : la Seine, l’Oise et la Marne.
Notre itinéraire nous a emmenés de Paris à L’Isle-Adam, puis Port Ilon, Saint-Fargeau-Ponthierry (où nous avons passé 2 nuits, avec une journée de pause sans vélo) et enfin La Ferté-sous-Jouarre.
On a roulé en mode tranquille : moi en gravel, Joannie en vélo électrique. Ça nous a permis d’avancer chacun à notre rythme, et de profiter de l’aventure en fonction de nos envies : j’aime bien me dépenser, alors que Joannie aime prendre le temps d’observer.
C’était ta première aventure à vélo ?
Pas du tout ! J’ai acheté mon premier vélo il y a dix ans. Au début, c’était plutôt pour des sorties sportives. Puis il y a quelques années, un ami ralliait Marseille au Cap Nord en bikepacking, et je l’ai accompagné quelques jours. Ça a été un déclic : j’ai adoré ce mode de voyage. Depuis, j’en fais régulièrement. Une ou deux micro-aventures par an, souvent avec ma famille ou des amis.
Et pour Joannie ? C’était une première ?
Oui, pour elle c’était une grande première. Elle a vraiment apprécié, même si au final, elle aurait peut-être préféré un vélo musculaire plutôt qu’un électrique, pour avoir un peu plus la sensation d’effort. Ceci dit, c’était un bon compromis pour une première expérience : partir plusieurs jours à vélo, c’est quand même physique et ça peut être éreintant pour quelqu’un qui n’a pas l’habitude. Alors que là, en VAE elle a pu profiter.
En tout cas, ça lui a donné envie de recommencer, donc pari réussi !
Qu’est-ce que tu as préféré pendant cette aventure ?
Franchement, j’ai été bluffé par la proximité de la nature avec Paris. En une heure de vélo, on se retrouve au calme, au vert, dans des endroits très agréables. J’ai testé la vie parisienne, et j’avoue que toute cette agitation, c’est trop pour moi. Du coup, c’était une belle surprise de me rendre compte qu’on peut s’échapper aussi facilement et se retrouver en pleine campagne en seulement quelques coups de pédales.
Est-ce que c’était frustrant de rester en Île-de-France ?
Absolument pas. On a fait plus de 300 kilomètres en six jours, et on a vraiment apprécié la diversité de la région.
J'ai souvent tendance à dire que toutes les régions françaises sont belles. Mais quand on pense à l’Ile-de-France, on a tendance à ne penser qu’à Paris, alors qu’il y a des coins incroyables au-delà de la capitale : la vallée de Chevreuse, la forêt de Rambouillet, le Vexin, les bords de Marne… Des endroits où on n’a pas la sensation d’être à deux pas de Paris. C’est vraiment une belle région.
Comment as-tu trouvé les hébergements de L’Escale Royale ?
C’était vraiment top. Je dirais qu’il y a deux types de voyages à vélo : la version root avec le hamac ou la tente, et la version plus confort. Personnellement, j’aime bien les deux.
Mais c’est vrai que pour un voyage en couple, avec un objectif vacances et repos, c’était vraiment parfait : avoir un lit douillet, une douche chaude, ne pas galérer à trouver où planter la tente, ça change tout. Ça permet de récupérer, de repartir en forme le lendemain. Ce qui rend le voyage encore plus agréable, car on profite encore plus.
Et puis l’emplacement des hébergements flottants, au bord de l’eau, c’est un vrai bonheur. Je recommande mille fois !
Un mot sur DolceVia?
J'étais vraiment ravi du service. En magasin, on a bénéficié d’un accueil au top pour prendre les vélos.
On a eu un micro-souci sur le capteur de vitesse pour le vélo électrique, qui a été réglé en un coup de fil. Notre interlocuteur a été très réactif et disponible. C'était hyper agréable de pouvoir partir sereinement, sans crainte de problème technique, et de savoir que si j'en ai un, j’aurai de l’aide pour le résoudre. C'est important de le souligner.
Est-ce qu’il faut être sportif pour partir en voyage à vélo ?
Pas du tout. Il faut juste avoir envie. Ce n’est pas de tout repos, bien sûr, mais ce n’est pas non plus un effort insurmontable. Ce qui compte, c’est le rythme. On s’adapte, on fait des pauses, on s’attend. J'ai l'habitude de rouler avec mes parents, en général ma mère est derrière. On fait des demi-tours, on va la chercher, on trouve un endroit sympa pour se poser en l’attendant… Le vélo, c’est accessible.
Qu’est-ce qui te plait dans le voyage à vélo ?
Ce que j’aime avant tout, c’est cette sensation d’avancer doucement mais sûrement. Le plaisir du slow travel tout en étant capable d’aller assez loin - plus qu’en randonnée par exemple.
On voit du paysage, on s’imprègne, sans avoir l’impression de survoler les lieux. C’est aussi une forme de liberté totale. Si on a envie de s’arrêter quelque part, on le fait. Si un endroit nous plaît, on peut y rester une journée de plus. Cette souplesse, c’est un vrai luxe.
Ce mode de voyage est très vite addictif. On a envie de faire plus, d'aller plus loin, plus longtemps. Pour le coup, à chaque fois que je suis en voyage à vélo, j'ai envie de partir trois mois.
Un grand merci à Valentin pour ce partage d’expérience.
Envie de tenter l’aventure ? Avec DolceVia, partez sur les routes en toute sérénité, et profitez d’un mix parfait entre liberté, nature et confort, grâce à notre partenariat avec L’Escale Royale.
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